La vidéo totalement folle du bourgmestre d’Awans qui se la joue Hugh Grant pour Noël! Thibaud Smolders, le bourgmestre d’Awans, voulait « marquer le coup » en ce Noël particulier, et c’est plutôt réussi !
C’est une scène surréaliste à laquelle ont assisté les clients qui faisaient leurs courses alimentaires ce dimanche au Spar de Wanze. Sur le coup de 16 heures, un homme en combinaison de plongée étanche, équipé d’un masque relié à une bouteille d’oxygène via un détendeur, s’est introduit dans le magasin pour faire ses courses. En cette période de crise sanitaire, la scène a provoqué l’hilarité parmi les témoins de la scène, tous surpris par le zèle dont fait preuve ce client hors du commun pour se protéger, et protéger les autres du coronavirus. Heureusement, le plongeur du Spar n’était pas réellement un hypocondriaque poussant à son paroxysme la protection contre le virus, mais bien un photographe wanzois de 29 ans qui voulait marquer les esprits avec une opération humoristique inattendue. Une vidéo de son entrée dans le supermarché, filmée par un passant, a dépassé les 50.000 vues sur Facebook en seulement quelques heures. « Mon but était de faire rire les gens, de détendre l’atmosphère », explique Maxime Baugniet. « Quand je suis arrivé, les gens que j’ai croisés ont tous ri, sans exception. La caissière a même demandé pour prendre une photo avec moi. Il y a des hommes qui allaient chercher leur femme dans les autres rayons pour qu’elles viennent me voir. C’était une vraie partie de plaisir ! ». Au final, les emplettes du plongeur se sont résumées à un bac de bières, mais le buzz en valait la peine pour le photographe amateur. « J’aime beaucoup faire rire les gens, et ils ont trouvé ça génial. J’ai eu énormément de retours positifs, mon GSM est envahi de notifications depuis la publication de la vidéo ». L'article complet en suivant ce lien : https://journal.lameuse.be/?_ga=2.149937460.349654725.1603802799-927525259.1588866424#Sudpresse/web,2020-11-03,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2020-11-03,BASSE-MEUSE,1|12
La photo d’un arbre, postée récemment par le conseiller liégeois Guy Krettels sur son profil Facebook, est en train de faire le tour du monde. Beaucoup d’internautes y voient un symbole de renaissance et d’espoir dans ces moments troublés. « Je me promenais le 15 octobre dernier dans mon quartier et j’ai vu cet arbre tout à fait particulier, situé rue Isi-Collin à Liège, près du parc de Naimette-Xhovémont, explique Guy Krettels, le conseiller communal Écolo de Liège. Ce frêne qui pousse dans un châtaignier mort depuis longtemps a eu pour moi une résonance particulière. » Du coup, il l’a pris en photo et l’a publié en rentrant de sa promenade sur son mur Facebook avec cette légende : « Parfois les arbres nous donnent des leçons de vie ». Ajoutant l’endroit où le trouver : « à 500 mètres de la place Saint-Lambert. » Un succès international Les premiers jours, sa photo eut le succès d’estime traditionnel auprès de ses amis liégeois. « Mais très vite, elle a commencé à être partagée des dizaines, puis des centaines de fois, reprend-il. Et, alors que je ne connais personne à l’étranger, j’ai commencé à recevoir des messages du Vietnam, d’Arménie, des États-Unis et des demandes d’amis en pagaille. » L'article complet en suivant ce lien : https://lameuse.sudinfo.be/678963/article/2020-10-30/symbole-de-vie-apres-la-mort-cet-arbre-liegeois-provoque-un-buzz-international
Photo du jour- Clin d'oeil. Oh ! Le pilier du parking d'éco-voiturage de Boirs représenté sur une blouse ? (cliquez sur la photo pour l'agrandir) (Source Storecloth.com)
Walter Molino est un dessinateur de bande dessinée et illustrateur italien né le 5 novembre 1915 à Reggio d'Émilie et mort le 8 décembre 1997 à Milan. Paru en 1962 dans le journal « La Domenica del Corriere », le dessin représente des personnes enfermées dans des capsules ! On peut y voir une foule se déplacer sur un trottoir, chaque passant étant enfermé dans sa propre capsule motorisée. Alors prémonitoire ? Walter Morino : un artiste visionnaire ?
Roger Wauters Crédits : Walter Molino / journal La Domenica del Corriere
A proximité - Liège. L’échevine Julie Fernandez participe à un shooting photos en soutien au secteur Comme le rapporte Tchantchés dans La Meuse ce lundi 6 juillet 2020, l’échevine de la jeunesse de Liège Julie Fernandez participe à un shooting photos. C’est pour rendre hommage, dit-elle « à tous ces métiers qui rendent notre vie plus douce et pour certains nos affiches plus belles comme les photographes, les coiffeuses, les esthéticiennes… qui ont eux aussi, souffert de la crise. » On aurait presqu'envie de dire : "A quand, à Bassenge, un shooting photo d'une échevine ou d'un échevin voire même de notre Bourgmestre pour aider le secteur touché par la crise ?" L'article complet et d'autres photos en suivant ce lien : https://www.lameuse.be/596571/article/2020-07-05/lechevine-julie-fernandez-participe-un-shooting-photos-en-soutien-au-secteur
Réfugié au sommet d’un coteau qui surplombe le village de Kanne, un habitant - un dénommé Polla - a décidé de conjurer le démon Covid19 en jouant de son instrument. Son credo « Que le démon coronavirus retourne dans le canal d’où il est venu ! ». Avec frénésie, le musicien s’emploie à jouer différents airs connus.
Cela fait irrémédiablement penser à quelques paroles d’une chanson de Joe Dassin « Il s’en est allé là-haut sur la colline, pour aller cueillir un petit bouquet d’églantine…» Sauf, qu’ici, la démarche est différente.
Ceci dit, il est à espérer que les incantations musicales de Polla soient suivies d’effet, que le Corona virus retourne dans le canal et qu’outre la population de Kanne, celle de la Vallée du Geer en bénéficie aussi…
Un grand merci à Jean Geelen, vidéaste de Kanne, pour cette vidéo.
Ce matin, les deux poneys se baladaient tranquillement sur la grand-route de Roclenge. Ils ont finalement regagné leur écurie, sans heurt. La scène a amusé de nombreux internautes. Ce matin, un habitant de la vallée du Geer a publié la photo de deux poneys qui se baladaient sur la grand-route de Roclenge. La scène, particulièrement amusante, a engendré de nombreux commentaires tous plus inspirés les uns que les autres, sur la page Facebook « Le Geer dans la Vallée du Geer ». Bonne nouvelle : les deux poneys ont finalement regagné leur écurie, sans dommage et, comme vous le constatez sur la photo, en tenant bien leur droite.
Il fait beau, le printemps est là et, avec cette période toute particulière, on va avoir un peu plus le temps de s'occuper du jardin. Et donc notamment de replanter des fraisiers. Et à Liers, chez Seronvalle, et sûrement ailleurs, on propose une variété de fraisier au nom bien d'actualité.
Si on peut boire de la Corona, d'ici quelques semaines, on pourra aussi déguster des Korona. Car si on connaissait la bière Corona, une variété de fraisiers porte elle aussi un nom qui ne peut que nous faire penser au tristement célèbre virus : la Korona. Et depuis ce mercredi, on peut notamment en trouver à la Maison Seronvalle. Un magasin qui a pignon sur rue à Liers et qui vend de l'alimentation pour humains et animaux, mais aussi des plantes à repiquer. Et donc, depuis mercredi, ces fameux fraisiers Korona. Comme ils s'en sont quelque peu amusés sur leur page Facebook « Nous avons reçu les fraisiers dont une variété qui porte mal son nom par les temps qui courent. »
C'est involontaire
Si chez Seronvalle on s'amuse de cette coïncidence, on nous assure qu'elle est totalement involontaire. « C'est vraiment le fruit du hasard, nous explique-t-on au magasin. Nous avons commandé nos plants au mois de novembre donc bien avant qu'on ne parle de ce nouveau virus. On veille chaque année à avoir un assortiment tel que nos clients puissent récolter des fraises de mai à septembre. Et donc, parmi l’assortiment de plants disponibles, nous avons reçu ces Korona. »
Restauration ou vandalisme ? Le curé d’El Ranadoiro, dans la région des Asturies en Espagne, a autorisé une paroissienne sans aucune qualification à repeindre trois sculptures datées des XVe et XVIe siècles. Le résultat fait scandale et alerte les services patrimoniaux.
Un article à découvrir sur Connaissance des Arts en suivant ce lien :
Mais qu’est-ce que saint Nicolas et Père Noël ont dans la tête cette année? Voilà qu’ils se plaisent à distribuer aux enfants des jouets d’assez mauvais goût, très « pipi caca ». Si cela plaît à nos bambins, cela n’apporte rien en revanche du point de vue éducatif.
Il ne s’agit pas de jeux traditionnels : ils ont tous en commun un côté scatologique. Pour vous en citer quelques-uns, parlons tout d’abord de Delir’o Toilettes. Il est conseillé à partir de 4 ans et est composé tout simplement d’un WC dans lequel on verse de l’eau.
Un second jeu fait la part belle aux crottes : il s’appelle d’ailleurs « Tête de crotte ».
Dans le même thème, Médor Pète-fort : le but ici est de ramasser le plus de crottes possible lorsque Médor le chien se promène. A chaque crotte, un jeton prout ! A partir de 4 ans.
Rose, jaune, ocre, violet, plein ou moucheté, le chrysanthème, avec ses couleurs vives, est d’allure joyeuse. Mais pourtant, la réputation qui lui colle à la tige est tout sauf heureuse. Fleur des défunts par excellence, elle orne les cimetières à l’arrivée de la Toussaint. Une tradition qui remonte à la première guerre mondiale, où se développe la coutume d’orner les tombes avec des fleurs. Mais la fête des morts se déroulant en automne, il était nécessaire de trouver une plante en pleine floraison à cette période de l’année. C’est ainsi que le chrysanthème, rare fleur à se déployer en automne, eut les faveurs de la population. Néanmoins, il est bon de souligner que la coutume est surtout d’actualité en France et en Belgique. Si chez nous, il est associé à la mort, au-delà des frontières, le chrysanthème a une tout autre signification. En Asie par exemple, la fleur est vénérée. Elle symbolise l’optimisme et la joie, et paradoxalement, la vie éternelle.
Luc Boy vient de terminer le portrait de la princesse Élisabeth. L’artiste bassengeois va prochainement rencontrer la future Reine afin de lui offrir le cadeau d’anniversaire de ses 16 ans.
Luc Boy n’est pas à son premier portrait royal. À l’occasion du jubilaire du Roi, le Palais lui avait demandé de réaliser un portrait original du Roi Baudouin. L’œuvre terminée, c’est le Roi en personne qui était venu la chercher à Bruges où le peintre habitait à l’époque. En voyant l’œuvre de Luc Boy, le Roi Baudouin avait versé une larme. Il avait été ému par les différents portraits dessinés au crayon, et surtout celui de sa mère, qui entouraient son portrait.
Rue provinciale à Glons, dans une prairie de la ferme Dupuis, il n’est pas rare d’observer des vaches pratiquer de l’escalade sur ses coteaux pentus et escarpés. Des zones d’herbe bien verte et grasse, disséminées dans la terre calcaire qui affleure, suscitent l’intérêt comme excite l’appétit des jeunes bovins lesquels, faisant preuve d’intrépidité et montre d’une souplesse digne des moutons de la Montagne Saint Pierre, s’aventurent sur le coteau pentu pour se délecter du délicieux mets.
Les vaches savent-elles escalader ? Comme les moutons de race rustique ? Comme les bouquetins ?
Oui. Comme quoi la vie à la campagne n’a pas encore fini de nous apprendre des choses…