Sur son site internet, l’asbl Terre vient de mettre en ligne le plan de localisation des « bulles Terre » sur la commune de Bassenge.
A découvrir en suivant ce lien :
Sur son site internet, l’asbl Terre vient de mettre en ligne le plan de localisation des « bulles Terre » sur la commune de Bassenge.
A découvrir en suivant ce lien :
Il propose des plats variés pour des prix tout à fait abordables
L'ancienne boulangerie Brimioulle revit. Depuis ce 11 décembre, le traiteur Nestor y a ouvert ses portes. Il propose une petite dizaine de plats différents, vendus au comptoir. Un service qui manquait dans la région !
Vous avez la flemme de cuisiner ? Vous finissez le travail plus tard que prévu ? Ou vous voulez simplement manger un plat qui sort de l'ordinaire ? Et pourquoi ne pas aller chercher votre repas chez le traiteur ?
Bonne nouvelle pour les habitants de Juprelle, Rocourt, Oupeye ou encore Bassenge, un traiteur vient d'ouvrir à Liers, au 58 de la rue Provinciale, dans l'ancienne boulangerie Brimioulle fermée il y a un an.
L’article complet à découvrir dans La Meuse de ce lundi 6 janvier 2020
Decathlon Alleur propose désormais des livraisons durables avec des vélos de transport électriques. Les commandes faites en ligne pourront être livrées par le personnel du magasin dans certaines communes de la région : « Les employés effectueront les livraisons, selon une rotation, avec des vélos cargo équipés d’une remorque de la taille d’un transpalette. » Malheureusement, le code 4690 de Bassenge ne figure pas (encore ?) dans la zone de livraison. L’article complet à lire dans votre journal La Meuse de ce samedi 21 décembre 2019.
On le sait, Bassenge compte de nombreux adeptes du motocross. Et, ce sport a fait beaucoup parler de lui ces derniers temps en Vallée du Geer.
En effet, que ce soit la jeune pilote bassengeoise Amandine Verstappen qui s’illustre régulièrement dans les compétitions internationales ; que ce soit une épreuve de motocross organisée en 2017 à Wonck à un jet de pierre du site « Sur Heez » qui redonna espoir aux amateurs du genre de pouvoir disposer d’un circuit permanent ou qu’il s’agisse encore des autorités communales de Bassenge qui viennent de décider de mettre ce site en vente pour permettre d’y pratiquer le motocross en toute légalité, force est de reconnaître que le motocross a la part belle en notre région.
Il nous a donc paru utile de jeter un coup de projecteur sur l’abl En Vies d’Avenir de Bressoux, peut-être pas assez connue à Bassenge, qui offre des possibilités aux demandeurs d’emploi de suivre, dans le cadre d’un programme de réinsertion sociale, différentes formations dont l’une est précisément articulée autour du Motocross.
Extrait du site internet de EVA asbl : « Formation en orientation professionnelle via le SPORT MOTO
Cette formation vise l’orientation professionnelle tout secteur et la redynamisation. Par le sport moto, nous voulons déclencher un processus de motivation et de reprise de confiance en soi. Autour de cette activité attractive, nous développons des modules et des cours d’orientation professionnelle ce qui reste l’objectif principal de cette formation. »
Source :
L’asbl EVA qui a son siège à Bressoux doit sa fondation à Louis Smal, ancien syndicaliste de la CSC comme le furent d’ailleurs Josly Piette et feu Ghislain Hiance qui se sont échangés l’écharpe maïorale à Bassenge.
Coup de projecteur sur l’asbl EVA
En vies d’avenir (Les copains d’Eric)
En fait de jeter un coup de projecteur, on ne pourrait trouver mieux que de publier ce reportage réalisé par la télévision RTC le 27 janvier 2015 à l’occasion de l’anniversaire des 20 ans de l’asbl dans lequel Louis Smal explique les buts poursuivis et retrace son évolution.
Course du Touquet : l'article du motocross magazine !
Pour des demandeurs d’emploi bassengeois(es) qui souhaiteraient suivre des formations à Bressoux et qui voudraient plus spécialement y pratiquer le motocross, deux possibilités se présentent : soit prendre rendez-vous au 04.3552347 ou envoyer MOTO au 0499.101101
La page Facebook de l'asbl EVA :
https://www.facebook.com/asbleva/
Sources :
Et articles :
Le journal 1Limburg.nl rapporte que l’usine ENCI de Maastricht va fermer ses portes en juin 2020 et qu’une demande d'avis sur la clôture a été soumise au comité d'entreprise.
Réunion du personnel
Le personnel a été informé ce lundi 9/12/2019 par le directeur Benelux de la société mère HeidelbergCement. Un licenciement collectif est demandé pour les 50 salariés.
Les causes
Selon la direction, la fermeture du four au début de cette année a entraîné une baisse de la production de clinker. C'est l'élément de base pour la production de ciment. En conséquence, la société est devenue plus dépendante des importations. Mais les navires de mer avec une plus grande capacité ne peuvent pas traverser la Meuse à Maastricht. C'était un handicap. De plus, la capacité de stockage est limitée à Maastricht et le site a des coûts de maintenance élevés. Ce qui a conduit la direction à conclure que la plus ancienne branche d'ENCI aux Pays-Bas (1926) ne pouvait pas rester compétitive. Outre Maastricht, ENCI possède également des succursales à IJmuiden et à Rotterdam.
Fin de l'extraction des marnes
ENCI a arrêté l'extraction de marnes à Maastricht à l'été 2018. Le directeur des ventes, Bart vanden Boeynants, s'est fermement opposé aux rumeurs concernant une éventuelle fermeture. Il écrivait alors sur le site Internet de l'entreprise: "J'entends de plus en plus de rumeurs selon lesquelles ENCI Maastricht cessera ses activités après la fermeture de la société de fournaise en 2019. Ce n'est donc pas vrai du tout. Oui, la concession touche à sa fin et nous transférons la carrière de marne sur la terre qui a été libérée, il y aura une zone de nature et de loisirs, clairement séparée de l'industrie. Mais ENCI Maastricht ne fermera pas. Au contraire: nos usines continuent la production de ciment. "
Plan de transformation
La fermeture du site de Maastricht n'a, selon la direction, aucune conséquence pour le plan de transformation pour la zone dans laquelle se trouve ENCI. L'entreprise affirme qu'elle respectera ses obligations. En avril de cette année, la partie nord de la carrière de marne, déjà rénovée, a été transférée à Natuurmonumenten. En janvier de cette année, toute la zone naturelle sera confiée à la Province. Quant à l’avenir des bâtiments après la fermeture de l'usine, il est toujours à l'étude.
Source
https://www.1limburg.nl/directie-bevestigt-enci-maastricht-volgend-jaar-dicht
Traduction Roger Wauters (Photo Enci.nl)
Bientôt le Centre Vétérinaire Educa Vet’s ouvrira ses portes à Bassenge. Il sera situé rue Royale 41, juste à côté du magasin Aldi et ce ne seront pas moins de 600 m2 de locaux qui seront dédiés aux soins des animaux de compagnie.
Tous les renseignements dans le communiqué dessous.
« La CGSP représentée au sein de notre intercommunale a convoqué une assemblée générale de ses affiliés ce jeudi 5 décembre de 9h à 13h. Cela entraîne la fermeture de 40 recyparcs. L'ensemble des recyparcs ouvriront à nouveau leur grille de 13h à 17h. »
Voici la liste des recyparcs qui seront ouverts normalement:
Recyparc Téléphone
ESNEUX 04/388.36.13
HANNUT 019/51.44.58
LIMBOURG 087/78.67.41
RAEREN 087/55.75.10
SAINT-GEORGES 04/388.46.58
SERAING 3 04/233.00.39
SPA 087/77.52.60
THEUX 087/23.27.55
WAREMME 019/32.89.23
( Source Intradel.be)
Dès le 1er décembre prochain, il va falloir vous habituer à un tout nouveau système de tri de vos plastiques. Les sacs PMC (bleus) pourront désormais collecter davantage de produits qu’actuellement… mais 65 communes couvertes par Intradel verront aussi arriver le « sac transparent ».
Vous avez peut-être vu passer l’information tout récemment sur les réseaux sociaux… D’ici le 1er décembre, c’est tout le système de tri des déchets plastiques qui sera revu par Intradel, gestionnaire des déchets de la province de Liège.
Concrètement, c’est au niveau de vos sacs-poubelle bleus que cela va se passer. Comme vous le savez, jusqu’ici, ceux-ci étaient réservés à accueillir les PMC, pour Plastiques (bouteilles principalement), Métaux (cannettes) et Cartons (à boissons). Dorénavant, ils pourront recevoir de nouveaux types d’emballages plastiques.
« Tout cela émane de Fost plus, le gestionnaire obligataire national de déchets, il y a maintenant trois ans », contextualise Jean-Jacques De Paoli, porte-parole d’Intradel. « Il souhaitait collecter davantage les emballages plastiques. Et dès lors, les recycler davantage. Pour coller à cela, sur notre territoire, nous avons mené des phases tests à Hannut et Marchin. Des données ont été récoltées et analysées afin d’optimaliser au mieux cette réorganisation. Et nous la lançons officiellement ce 1er décembre. »
Et il y aura, pour l’ensemble des 72 communes couvertes par Intradel, deux scénarios.
65 communes couvertes par Intradel verront arriver le « sac transparent », en + du PMC…
Si le sac bleu était limité dans les produits qu’il pouvait accueillir, il sera désormais « plus gourmand ». L’ensemble des plastiques rigides pourront dorénavant y être déposés également. « On parle ici des pots de yaourts, des raviers de beurre, des barquettes de fruits et légumes (comme on peut retrouver pour les champignons, NDLR), les tubes de dentifrice, des pots de crème, de fleurs, ou les barquettes rigides de charcuterie et de fromage… », détaille le porte-parole.
Un nouveau sac, transparent, permettra, lui, de collecter tous les plastiques dits « souples ». « Ici, ce sont les films plastiques qui entourent les boissons ou les journaux par exemple, les sachets, les opercules de raviers en plastique rigide, les paquets de chips… »
Les dates de collecte des PMC ne changeront pas des horaires appliqués jusqu’ici. Pour les sacs transparents, par contre, un passage est prévu le même jour que les sacs bleus « mais une fois toutes les 8 semaines ». Et Jean-Jacques De Paoli de préciser : « Cela peut sembler être peu mais, lors de la phase test, la vitesse de remplissage de ces sacs a été étudiée et, pour une famille de 4 personnes, on peut compter un à un mois et demi pour le remplir. »
Pour Liège, Ans, Grâce-Hollogne, Flémalle, Herstal, Saint-Nicolas et Seraing : un seul sac !
Pour ces sept communes de la zone, qui représente environ 50 % de l’ensemble de la population liégeoise, le système de tri est maintenu à un sac bleu unique, tel que celui que nous connaissons actuellement.
À la différence près qu’il pourra donc accueillir un panel beaucoup plus large de déchets plastiques que ce qui n’est prévu pour l’instant. Puisque pour ces entités, ce sont littéralement TOUS les plastiques qui pourront y être déposés, les rigides comme les souples.
À la question de savoir pourquoi un tel double fonctionnement a été mis en place, la réponse est purement technique. « Notre chaîne de tri n’est pas encore techniquement prête à pouvoir ouvrir tous les sacs et réaliser les différentes fonctions demandées », explique Jean-Jacques De Paoli. « L’idée est donc que ce double scénario existe durant environ deux ans, le temps d’adapter notre chaîne de tri. Et, à long terme, ce sont donc les 72 communes qui passeront à ce système de double sac bleu et transparent. »
Pas de panique, un guide de tri relativement simple sera distribué dans toutes les boîtes dès la fin de semaine prochaine. Deux pages spéciales y seront également consacrées dans le calendrier Intradel 2020.
L’article complet à découvrir en suivant ce lien :
Sandra a communiqué sur Facebook le message suivant :
« Bonjour à vous tous,
Après 10 ans d’activité, nous avons décidé d'arrêter notre commerce ce mercredi à 12.00h. Demain on sera ouvert de 6h à 12h également (Ce mardi 5 novembre 2019). Nous tenons à vous remercier tous pour votre fidélité pendant toutes ces années.
Christian et Sandra »
Source :
https://www.facebook.com/Librairie-CBS-1981144925487041/?tn-str=k*F
Vous cherchez un gâteau célébrer pour Halloween ? Déjà dépassé ! Les bûches de Noël débarquent dans le rayon. Comme au Carrefour de Boncelles où nous avons découvert, dans le rayon frais… des bûchettes de Noël. Et elles étaient là depuis quelques jours puisque certaines d’entre elles étaient démarquées vu la date de péremption toute proche.
Étonnant ? « Non » nous dit la porte-parole, Siryn Stambouli, « les produits de fêtes sont toujours là plus tôt. Sans doute parce qu’ils sont très prisés ». Mais des bûches fraîches, fin octobre ? « C’est pour répondre à la demande des consommateurs », poursuit la porte-parole, « sans doute que la grande surface réagit par rapport à son action de l’année dernière ».
Est-ce lié à un seul Carrefour ? « Non, je ne pense pas, les Hyper, vu leur capacité, peuvent commencer les produits de fêtes plus tôt dans la saison. Mais nul doute qu’il y aura des bûches un peu partout très rapidement ». Et visiblement, les bûches ont leur succès chez Carrefour : « C’est un produit phare. Ainsi, cette année, nous allons introduire quatre nouvelles variétés de bûches surgelées dans notre assortiment dont une noix de pécan-vanille ».
Et ailleurs aussi… A lire dans la Meuse de ce jeudi
Ginger Flower, c’est un concept unique à Liège de fleuriste éco-responsable. En résumé, il s’agit de bouquets entièrement confectionnés avec des fleurs locales, sans pesticides et cueillies à la main à une centaine de kilomètres de notre Cité ardente.
Des bouquets champêtres et uniques composés de fleurs locales, cueillies à la main dans les champs belges… Voici le projet inédit d’une jeune liégeoise, Élodie Gernay.
Après des études de communication, Élodie entame une carrière d’e-marketting. Mais les trop nombreuses heures enfermée entre quatre murs commencent à la peser. « Quelque chose me manquait, je n’ai pas retrouvé la créativité que je cherchais », explique-t-elle avant d’ajouter : « Je ne me voyais pas faire ça toute ma vie ».
Il y a six mois, Élodie se découvre une nouvelle passion. « J’ai testé une journée, un métier au Forem en suivant une fleuriste », se souvient-elle. « J’ai tout de suite adoré. Le contact avec la nature, nettoyer les fleurs, la créativité, la composition d’un bouquet… ».
En juillet dernier, alors que l’entreprise qui l’employait cesse ses activités, la Liégeoise en profite pour se lancer à temps plein comme fleuriste.
Cueillies à la main
Fleuriste oui, mais pas n’importe comment. « J’ai entamé une formation en cours du soir mais je me suis rendu compte du marché des fleurs, et je n’ai pas adhéré », affirme Élodie. « Les pesticides, l’importation, la production massive… L’envers du décor ne me plaisait pas ».
Pour autant, la jeune femme ne se décourage pas. « Lors d’un voyage aux États-Unis, j’ai découvert le mouvement du ‘slow flower’ qui consiste à travailler avec des fleurs locales et de saison », raconte-t-elle. De là, est née l’idée de « Ginger Flower », un fleuriste éco-responsable.
À travers ce concept, la Liégeoise souhaite montrer qu’on peut profiter de ce que notre pays a à offrir.
Chaque semaine, elle se rend donc dans le Brabant Wallon et cueille plusieurs centaines, entre 600 et 700, de fleurs à la main. Elle confectionne ensuite ses bouquets selon les envies des clients.
Écologique et zéro déchet
Mais être fleuriste éco-responsable comporte quelques obstacles. « Je ne peux faire qu’un nombre limité de bouquets, environ 30 par semaine », précise la jeune femme. En effet, sa cueillette ne s’organise que sur deux champs de producteurs de la taille d’un terrain de foot et demi chacun. Un troisième champ lui permet, lorsque nécessaire, de terminer une commande incomplète.
Ses compositions se dessinent au fil des saisons et dépendent aussi de la météo. « Je veux respecter le cycle de la nature et travailler avec des fleurs de saison, sans pesticide. Donc oui, il y a une part d’imprévisible qui intervient dans mes créations ». Fin octobre, les bouquets de fleurs séchées remplaceront les fleurs fraîches.
Jamais un bouquet ne se ressemble, ni une fleur d’ailleurs. Parfois, l’une ou l’autre fleur est un peu tordue et toutes n’ont pas une allure parfaite. Mais c’est notamment ce côté naturel qui donne de la vie à ses compositions. « Mon souhait, c’est aussi de donner envie aux gens de se faire plaisir en fleurissant leur maison », rêvasse la fleuriste.
Et pour ne gaspiller aucune fleur, tous les bouquets Ginger Flower doivent être commandés à l’avance. « Cela me permet de ne cueillir que le nombre exact », continue Élodie.
Ils sont ensuite emballés dans du papier craft et distribués dans sept points relais autour de Liège. Comptez entre 25 et 50 euros pour un bouquet.
Plus d’infos : www.gingerflower.be
L’article complet en suivant ce lien :
https://www.lameuse.be/458767/article/2019-10-19/unique-liege-un-fleuriste-local-et-de-saison
En tant que ministre de l’Emploi, Mme Morreale a aussi la tutelle sur les titres-service. Un secteur qui pèse lourd, notamment en termes d’emploi.
Où en est le système aujourd’hui, est-ce qu’il fonctionne ? Ça concerne combien de personnes ?
Il est toujours aussi populaire. Il y a 46.000 travailleurs, essentiellement des travailleuses. Un peu plus de 1.000 entreprises labellisées. Le budget wallon consacré actuellement aux titres-service est de près de 442 millions. Le succès continue d’être exponentiel.
Le coût du titre-service sera maintenu à 9 euros ?
Oui, nous ne voulons pas l’augmenter, ça ne changera pas.
Et la déduction fiscale de 10 % ?
En tout cas, elle ne changera pas en 2020. On fera quand même un bilan financier parce qu’on me fait état de dépassements importants.
Il y a d’autres enjeux, autour des titres-service ?
Déjà, il y a celui sur les salaires des travailleurs. Ils sont payés à 11 euros brut de l’heure, c’est vraiment trop peu. Ce sont souvent des femmes, des familles monoparentales.
Et l’extension envisagée à la garde et au transport d’enfants ?
C’est aussi dans la DPR. Il y a une demande, pour conduire par exemple des enfants à l’école. Ou bien, il y a parfois des besoins urgents de garde d’un enfant malade. Est-ce que le dispositif pose question ? Oui, en matière de formation du personnel. Ça pose des questions comme : est-ce que les personnes qui vont faire du nettoyage garderaient aussi les enfants ? Ou le feraient en même temps ? Il y a toute une série de questions, qui méritent une large concertation.
Ce ne sera pas pour tout de suite, donc ?
Non. Il faut d’abord répondre aux questions.
L'entretien complet avec la Ministre Christie Morreale dans votre journal La Meuse de ce samedi.
Ce n’est pas la première fois que le Proxy Delhaize doit fermer
Extrait de l’article publié dans La Meuse de mercredi.
Nous avons tenté plusieurs fois de joindre le gérant du magasin afin de connaître les raisons de cette fermeture et l’avenir des employés. Il ne nous a jamais recontactés. Néanmoins, d’après nos informations, la fermeture serait due à un manque de rentabilité. Les clients s’y feraient rares depuis des mois et l’achalandage actuel n’aide évidemment pas à les attirer. Et malgré plusieurs services, comme la livraison à domicile et même l’installation d’un lavoir automatique à l’extérieur, ce commerce de proximité n’aura jamais vraiment réussi à attirer et fidéliser le client. Idéalement situé, sur la grand-route de Boirs, à quelques dizaines de mètres de l’autoroute, il y a fort à parier que la surface commerciale trouvera rapidement un nouveau repreneur.
L’article complet à lire dans votre journal La Meuse de ce mercredi
En quelques mois, les CBD shop, ces commerces qui vendent du « cannabis légal », ont fleuri un peu partout en région liégeoise. Mais les clients l’auront sûrement constaté, la plupart de ces magasins n’auront tenu que quelques mois. La faute à une nouvelle réglementation qui les acculent financièrement.
Accueillis avec enthousiasme par certains, regardés avec beaucoup d’inquiétude par d’autres, les CBD shop ont déchaîné les passions durant ces derniers mois. Et pour cause, c’est dans ces magasins qu’on peut acheter ce qu’on appelle le « cannabis légal ». Entendez par-là du cannabidiol dont le taux de THC ne dépasse pas les 0,2 %, ce qui en enlève les effets psychotropes.
Arrivés en région liégeoise voici une petite année, les CBD shop se sont rapidement multipliés. Liège, Saint-Nicolas, Seraing, Herstal ou encore Bassenge ont ainsi vu l’ouverture d’un ou plusieurs commerces de ce genre. Mais depuis juillet, ces magasins ferment les uns après les autres, comme nous avons pu le constater avec « Vert Ô Naturel » à Bassenge. Ouvert à la fin avril, il est fermé depuis la mi-juillet !
31,5 % d’accises
« Tout ça c’est la faute à la nouvelle réglementation », nous explique Benito Marinaro, gérant de Kristal Canna, propriétaire et fournisseurs de plusieurs CDB Shop.
L’article complet avec tous les détails en suivant ce lien :
Une nouvelle boutique artisanale vient d’ouvrir ses portes à Glons. Tous les renseignements sur l’illustration.