Dimanche, le ciel sera sec et ensoleillé, une tendance qui se perpétuera durant quasi toute la semaine. Un vent faible à modéré de secteur est, nord-est, accompagnera des températures de 7 degrés à la mer et en Ardenne, environ 9 degrés ailleurs.
La zone de police de la Basse-Meuse va payer 250.000 euros au commissaire Philippe Lambert pour éviter de le nommer chef de zone. C’est le prix à payer pour qu’il cesse ses recours au Conseil d’Etat, tous en sa faveur jusqu’à présent. La zone de police de la Basse-Meuse qui regroupe les communes de Bassenge, Blegny, Dalhem, Juprelle, Oupeye et Visé se prépare à débourser discrètement 250.000 euros pour en terminer avec une procédure de nomination de chef de zone qui dure depuis… 14 ans ! Objectif : se « débarrasser » de l’encombrant Philippe Lambert, candidat malheureux au poste tant convoité, qui n’a cessé depuis lors d’introduire des recours au Conseil d’Etat. Conseil d’Etat qui, à chaque fois, lui a donné raison. Et manifestement, ça a fini par agacer les responsables de la zone de police, qui ont décidé d’en finir une bonne fois pour toutes en mettant la main au portefeuille pour offrir une retraite dorée au candidat mécontent. Une information qu’on se refuse à confirmer du côté de la zone de police. Josly Piette, le bourgmestre de Bassenge et président de la zone de police, est très clair : aucun commentaire, confidentialité oblige. Mais l’histoire de ce petit « pécule de départ » a fini par fuiter dans les couloirs des commissariats de la Basse-Meuse. Où les policiers n’apprécient que modérément ces largesses financières à l’heure où les budgets « police » sont de plus en plus serrés. «Ils chicanent pour quelques dizaines d’euros, n’ont pas d’argent pour engager les inspecteurs qui manquent, mais savent sortir 250.000 euros pour ne pas appliquer une décision qui émane pourtant du Conseil d’Etat», s’étonne un connaisseur du dossier.
La zone de police de la Basse-Meuse va payer 250.000 euros au commissaire Philippe Lambert pour éviter de le nommer chef de zone. C’est le prix à payer pour qu’il cesse ses recours au Conseil d’Etat, tous en sa faveur jusqu’à présent.
La zone de police de la Basse-Meuse – qui regroupe les communes de Bassenge, Blegny, Dalhem, Juprelle, Oupeye et Visé – se prépare à débourser discrètement 250.000 euros pour en terminer avec une procédure de nomination de chef de zone qui dure depuis… 14 ans !
Toutes les explications dans l’article en suivant le lien :
Allez, un peu d’autodérision… C’est la période du carnaval en Vallée du Geer, on peut tout de même se lâcher un peu, non ? Voici une capture d’écran du compte rendu officiel du Conseil communal qui s’est tenu le 21 janvier 2015 et tel qu’il apparaît sur le site Bassenge.be…
Rédiger un document officiel après avoir bu quelques verres de l’amitié, cela donne, assez bizarrement, un compte rendu signé conjointement par un « Directeur Général Bourgmestre Président » et le J.Piette… qui, du coup, n’a plus aucun mandat.
Avouez aussi que la formule « Le J.Piette », n’est pas très révérencieuse…
« Mon doigt a glissé, Chef ! »
A Bassenge, même sur les documents officiels, c’est parfois aussi le carnaval…
Dans les semaines ou mois à venir, un bassin de rétention va être creusé à l’angle des rues des Bannes et d’Once. Il pourra retenir des milliers de litres d’eau. Et s’il devait ne pas être la solution définitive pour endiguer les inondations dans le quartier des Bannes, il devrait fortement les contenir. L’article complet à découvrir dans votre Meuse de ce vendredi 13 février 2015.
Ce week-end des 14 et 15 février, la ferme Rosa Canina organise le premier concours de chiens de troupeau de la région. Accès via la silexweg à Kanne, puis ce sera ensuite fléché. Rendez-vous à partir de 9h00. Tous les renseignements sur l'illustration ci-dessous.
Ce mardi 10 février, dès 9h30 à la réserve naturelle « Sur les coutures » à Roclenge, c’est avec beaucoup d’entrain et dans la bonne humeur que les élèves de 5ème et 6ème années de l’école Sainte Marie de Boirs sont venus apporter une aide conséquente aux bénévoles de Natagora. Mission du jour : planter des centaines de boutures de saule pour former une haie tressée autour de la grande mare naturelle. Et ce ne sont pas les petites bruines intermittentes qui sont venues gêner le travail des petites têtes blondes qui toute l’avant midi s’en sont donnés à cœur joie sous l’œil attentif de leur institutrice, Madame Christelle qui, de son côté, avait pris en charge le travail de ligature des branches. Aux alentours de 10h30, tous se rassemblèrent autour d’une table dressée par Jean Paul, gestionnaire de la réserve, pour partager ensemble gaufres et chocolat chaud. L’occasion, pour les membres de Natagora, de fournir différentes explications sur la réserve naturelle en général, sur la mare et en particulier sur le saule (reprise des boutures par simple enfouissement dans le sol) ainsi que de répondre aux diverses questions posées par les enfants sur divers domaines ayant trait à la nature. Après cette pause didactique et les collations rassasiantes, le travail reprit de plus belle. « L’année dernière, ce sont 56 arbres fruitiers d’anciennes variétés qui ont été plantés en cette même réserve », nous dit Jean Paul Théatre. Il poursuit : « Nous plantons constamment. Dernièrement, il s’agissait de haies en différents endroits… » Quant à Madame Christelle, elle ne cachait pas sa satisfaction: « Ce n’est pas la première fois que nous participons à ce genre d’opération ; durant ces journées participatives, solidaires et didactiques, les enfants qui ont l’esprit en éveil apprennent énormément. Par après, à l’école, les enseignements acquis durant ces journées nourrissent encore abondamment les discussions durant plusieurs mois… »
Et donc des journées participatives et didactiques qui, évidemment, amènent à se remémorer la citation de Jean Racine : « Les enfants ferment leurs oreilles aux conseils mais ouvrent leurs yeux aux exemples. »
Evoquer « Racine » ne pouvait bien sûr que clôturer en beauté ce reportage consacré à une plantation de boutures de saule…
Et maintenant, à la mare de la Réserve naturelle de Roclenge, il appartient à la nature de faire le reste.
Les supermarchés Aldi annoncent ce mercredi 11 février 2015 le retrait immédiat du marché des produits «Golden Bridge Cornflakes» (500 g). Cette décision a été prise en concertation avec l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca), indique l’enseigne mercredi.
Cette photo a été prise en Hesbaye toute proche. On la doit au photographe Aris Koudaya par ailleurs confrère blogueur gestionnaire du blog Waremme Sudinfo. On l’a trouvée splendide et nous en faisons notre photo du jour.
Les liens facebook pour découvrir le travail d’Aris:
Depuis lundi après-midi, une famille de Hermée était sans nouvelles de leur fille, Andyne (16 ans). Sur Facebook, un groupe avait été créé, histoire que l’avis de recherche soit partagé un maximum sur les réseaux sociaux. Bonne nouvelle : vers 2 heures du matin dans la nuit de mardi à mercredi, la bonne nouvelle tombait. Andyne avait été retrouvée saine et sauve par la police. La suite de l’article sur :
Cela s’appelle une opération de « Street art marketing ». Et le moins qu’on puisse dire ici, c’est qu’elle est réussie.
En plein coeur de la ville d’Amsterdam, sur la place Leidseplein, une curieuse installation a pris place sur le toit d’un abribus. Afin de faire découvrir la nature et promouvoir les différentes zones à découvrir en périphérie de la ville, un nid d’oiseau géant dans lequel les passants pouvaient grimper grâce à une échelle en bois a été installé. Une caméra à l’intérieur du nid permettait aux passants de se prendre en photo, pour être ensuite relayées sur un album Facebook et partagées sur les réseaux sociaux.
Ali et Martin, deux photographes amateurs de la vallée du Geer, ont immortalisé les traditions ancestrales du carnaval noir d’Eben. Les clichés montrent les Houres mangeant des pieds de porc, de la grosse soupe ou encore, de la potée aux choux. Ici pas de cortège, mais les Ebenois ont comme autre tradition de marquer d’une trace noire toutes les personnes qu’elles croisent dans les rues du village et ce, les jeudis gras ainsi que le lundi et le mardi. Cette exposition est visible chez Lisiane, le café A Vî Ebem l LEM (Source La Meuse mardi 10 février 2015)
Dans les boutiques spécialisées, on peut trouver de tout… ou presque. Certains commerçants ont volontairement laissé dans la réserve des articles pouvant heurter dans le contexte anti-terroriste actuel.
Article à découvrir en cliquant sur le lien ci-dessous ou dans votre Meuse de ce mardi 10 février 2015 (photo La Meuse)
Ambiance festive et bon enfant pour le 1er cortège carnavalesque en Vallée du Geer. Une vingtaine de chars ont sillonné toutes les rues du village de Wonck (Bassenge) pour le plus grand plaisir des petits et des grands. Les participants n’ont pas été avares en chiques, pop-corn, sucettes, chips et autres gadgets en tous genres. Les plus petits ont même eu droit à des ours en peluche. Que du bonheur. (Source Lem La Meuse lundi 9 février 2015)
Reportage. Photos de Raymond Tummescheit dans l’album en cliquant ICI